La reine du foyer (1972) Peinture par François-Pierre Bleau (Dit Zéro Zoo)

La reine du foyer.

1972

Enthousiasme, spontanéité, rêve, espoir, poésie, douceur, amour, éclosion et prodigalité en un vent exaltant de fraîcheur et de sourire!
Ce tableau exécuté en 19 heures d’affilée à l’âge de 20 ans (en 1972) fut réalisé en toute innocence, bonne volonté et dans un élan exaltant et euphorique de mieux-être pour tous!

Il a souvent servi à exprimer et illustrer à travers le monde des textes féministes dans des magazines, parfois avec ma permission et d’autres fois sans ma permission!

Il fut choisi par un jury comme étant l’une des meilleures oeuvres picturales à l'échelle mondiale ayant servi à illustrer un article de magazine ou de journal et figura à cet effet dans le livre en plusieurs langues intitulées : GRAPHIS ANNUAL / 1978 / 1979 / Réperttoire international de l’art graphique publicitaire et rédactionnel. (The Graphis press, Zurich, Switzerland, 247 pages. Page 154. ISBN : 3-85709-178-9.)

Certains de ces articles qui s’affichait avec mon oeuvre n’étaient pas toujours d’une très grande rigueur historique, intellectuelle morale, par conséquent Zéro Zoo croit bon de faire lire une citation de lui qui va suivre. Puisqu’on s’est servi d’une de mes oeuvres et de mon talent pour faire er et intensifier des points de vues, il me semble que j’ai donc droit de parole et à quelques mises au point!

Cette citation est tirée de : «Propos et Confidences Intimes et Anonymes de ZZ» Zéro Zoo / 2016

«La libération de la femme, l’égalité, le respect, oui, bien sûr, évidemment! Mais Zéro Zoo croit que la libération, le respect, l’égalité, la liberté d’expression doit être pour tout le monde sans aucune exception, et ce, peut importe le sexe, l’orientation sexuelle, les races, les nationalités, les religions? Il ne me semble pas y avoir de valeurs plus élevées! Tant que cela n’existera pas, il y aura toujours de l’injustice, de l’irrespect, de la domination de certains ou certaines sur d'autres! On ne répare pas des injustices en en créant aveuglément d’autres, basés sur l’ignorance, la partisanerie maniaque, la haine destructrice.»

Si le phénomène du féminisme peut être lumineux, il possède aussi ses zones d’ombre et même ténébreuses, en particulier en l’observant sous l’angle et la lentille déformatrice d’une société basée sur le profit et l’exploitation immorale des humains. Quand on y regarde et réfléchit de plus près, il est bien évident que le mouvement féministe fut parfois largement l’objet d’investissements et de manipulations subtiles faites par des financiers milliardaires et par les gouvernements, mais vraiment pas toujours pour les bonnes raisons! Observez, réfléchissez, autrefois un seul salaire suffisait à faire vivre une famille, aujourd'hui avec le coût de la vie savamment réglé et augmenté, il faut deux salaires, mais la qualité de vie et le temps de loisir à travers le monde n’ont pas vraiment proportionnellement augmenté! Les financiers, les multinationales, les gouvernements ont donc deux employés pour le prix d’un, c’est un gain substantiel obtenu habilement et magiquement par de la manipulation idéologique, de la démagogie. De plus, les gouvernements eux, peuvent taxer deux personnes plutôt qu’une, alors là, c’est vraiment la manne tant espérée!

Puisque la qualité de vie a forcément baissé et que le temps à consacrer pour cette qualité de vie (pour la santé, l’acquisition de la connaissance, les loisirs) n’a pas vraiment augmenté, alors des choses aussi banales, mais importantes et capitales telles que s’alimenter sainement sont mises en péril, car s’alimenter convenablement demande (contrairement à la croyance générale) de façon réaliste et terre-à-terre, du temps, de l’énergie, des connaissances, de l’application, de la constance, et ce, que se soit l’homme ou la femme ou les deux qui prépare les repas! Il faut être inconscient pour ne pas savoir aujourd’hui qu’un tiers des cancers est causé par une mauvaise alimentation, et ce, sans parler des maladies cardio-vasculaires qui sont des maladies d’un mauvais mode de vie, entretenir cet état de choses, ces conditions de vie propice à la maladie fait évidemment l’affaire des compagnies pharmaceutiques et des financiers qui sont ainsi assurés d’empocher des centaines de milliards. La durée consacrée pour la préparation d’une alimentation santé est réduite considérablement au point que statistiquement au Canada on dit qu’un repas par jour est pris au restaurant et l’on peut observer qu’au minimum un autre repas tout aussi dénaturé est acheté et préparé industriellement avec des paragraphes de produits chimiques et toxiques pourtant approuvés par les organismes de santé gouvernementaux, ceux-là mêmes qui approuvent des médicaments qui dans la majorité des cas sont inutiles, toxiques, et qui rendent malades et font la fortune des compagnies pharmaceutiques à coup de centaines de milliards. Par exemple, les «statines», ces médicaments contre le cholestérol qui est pourtant une molécule de vie essentielle, sans elle pas de vie possible! Et pourtant, ces médicaments ont rapporté des sommes qui déent l’imagination! (Cherchez, renseignez-vous, sortez du prêt-à-penser que l’on vous impose!)

Malgré tous les bons aspects indéniables, le féminisme a été et est parfois récupéré, détourné, réutilisé de façon camouflée à des fins moins louables et non basé sur la vraie justice, le bien-être et l’égalité pour vraiment tous les humains sur terre. SANS AUCUNE EXCEPTION.

Étant sur le terrain de l’éthique humaine, ici quand même un peu «féminine», je cite à ce propos un paragraphe (non sans un certain humour) tiré de : «Propos et Confidences intimes et Anonymes de ZZ» Zéro Zoo / 2016
«En plus, on dit même, dans le quartier, que j’aurais aussi vécu dans la ouate au côté de femmes. À ceux qui présument vite, je rappellerais à ces irréalistes, idéalistes et très grands poètes surréalistes, que certaines femmes sont aussi des bombes amorcées qui peuvent vous péter dans la gueule à tout moment après avoir tout demandé et pris de vous, et que parfois, aussi, «quand le bateau sombre les rates se sauvent», et qu’elles peuvent partir, renier, pour une simple bouchée de pain, une lueur de liasse, de voiture, de maison de ville ou de campagne, et même pour une simple et ignoble face de rat et de moitié d’homme imprégnée de lâcheté. Étant déjà sur le terrain des mises au point : il paraît que j’aurais même aussi, dit-on, dévalisé une banque et même défenestré la gardienne de sécurité, je me serais aussi assis dans le fauteuil de la directrice, mis les deux pieds sur son bureau, j’aurais craché sur son tapis, je serais même parti avec sa boîte à lunch de bouffe bio, et j’aurais même fait bien pire! Certains et certaines le prétendent, d’autres, l’affirme!»

Ce tableau sur la libération de la femme a souvent servi à exprimer et illustrer à travers le monde des textes féministes dans d’innombrables magazines, parfois avec ma permission ou sans, donc sans me payer mes droits d’auteur! Voler un artiste c’est voler celui qui capte la vie et l’exprime avec son dur labeur.

Zéro Zoo est un artiste et créateur multiple qui est composite à l’extrême : «Je suis un artiste virtuose méconnaissable d’un concept pictural à l’autre, je suis pour la plénitude de l’expression, j’ai toujours créé dans une diversité inouïe d’approches Zérozoïstes et de styles qui peuvent même être antagonistes à outrance et qui défient toutes règles et tous les académismes issus de l’art institutionnel subventionné dit «art contemporain», mais aussi de «l’art traditionnel» tout aussi borné. Dans la dissidence, je vis, crée, combats dans le maquis de l’art, j’avais bien dit «Ma seule arme c’était l’art et l’écriture : je suis pour l’armement.» Zéro Zoo a été, est, et sera tel quel envers et contre tous.»

Oeuvre et texte tirés du livre «Précis de Zérozoïsme» en 4 tomes, par Zéro Zoo. Disponible chez Amazon.

Arts contemporains Zérozoïstes.

Thèmes connexes

Femme